Pour mieux comprendre l'actualité globale, nationale et internationale sur les mutations de la sécurité
et de la défense, les nouvelles menaces et défis sécuritaires, la cybersécurité et
la cyberdéfense, les enjeux des technologies clés, la protection des données,
les facteurs humains et technologiques.
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samedi

Un panorama exhaustif des moyens de communication externe de la Gendarmerie nationale

 


La communication de la gendarmerie
 
Pour le lecteur pressé :

Indissociable de toute mission à caractère opérationnel, le volet communication de la gendarmerie est pris en compte à l'échelon central mais également au niveau des échelons territoriaux de commandement. Aujourd'hui, chaque chef opérationnel est un acteur de la communication de la gendarmerie quels que soient les supports utilisés. La gendarmerie est ainsi devenue en une dizaine d'années un véritable média présent sur internet et les réseaux sociaux et suivi quotidiennement par plus de trois millions d'abonnés.
 
 
 
 La numérisation de l’information : un défi de taille à relever !

L’avènement des technologies de l’information a considérablement bousculé le paysage médiatique traditionnel. En même temps que les chaînes d’infos en continue apparaissaient, les réseaux sociaux prenaient leur essor. La numérisation de l’information était un défi que la Gendarmerie nationale, comme les entreprises ou les autres institutions, devait relever.

Aux traditionnels supports écrits papier se substituent petit à petit une série de supports numériques qui, se complétant les uns les autres, gomment également la traditionnelle frontière entre la communication interne et la communication externe. En la matière, la Gendarmerie nationale est une administration de pointe qui a très tôt engagé sa révolution numérique.

Source : lettre ASTER de la Gendarmerie nationale

mardi

Cybersécurité et Intelligence économique : suivez la Lettre de VIGIE.ONLINE

 

Dirigeants
Vos équipes sont en télétravail ?
Êtes-vous prêts pour une Cyberattaque !
Kit de survie du dirigeant d'entreprise #47
réalisé par VAUBAN & VIGIE.online
 
 
Comprendre un audit d'intrusion avant de passer commande
 
En temps de crise: L'intérêt premier de la cybersécurité, est d’apporter des outils techniques et un savoir-faire à l’entreprise lui permettant de s’affranchir des menaces cyber et de conserver un avantage concurrentiel. Commencer par un audit d'intrusion, pour quoi faire? combien ça coûte? Qui contacter?
 
Article
 
La cybersécurité à l’heure du télétravail
 
Avec la crise du Covid-19, le virus informatique s’est greffé au virus biologique. La généralisation du télétravail a été une opportunité sans précédent pour les hackers. Loin de leurs entreprises, les salariés en télétravail ont constitué une nouvelle proie pour ces pirates informatiques. L’approche d’une seconde vague de confinement annonce un retour de ces pratiques.
 
Article
 
Les experts VIGIEnautes ont la parole
 
 
Un Hacker Ethique
 
Et si je vous propose un Pentest ou un test d'intrusion...vous dites oui ?
Florent, un Hacker Ethique nous explique pourquoi vous devez le faire.
 
Vidéo
 
Un avocat spécialiste en IE
 
Maître de Maison Rouge répond à nos questions en matiere de Cybersécurité en télétravail.
 
Vidéo
 
Nos solutions
VIGIE
500 VIGIEnautes
 
Spécialiste des systèmes d'information, Hackers éthiques, formateurs, experts pouvant intervenir à l'autre bout du monde... Mais comment choisir son expert?
 
VAUBAN
 
Maintenant que vous y voyez plus clair 2 choix s'offrent à vous:
 
1) Vous contactez un chef de projets VAUBAN qui vous guidera et vous suivra (ICI)
2) vous accédez directement à la plateforme VIGIE et vous faites votre choix parmi plus de 500 experts choisis pour leurs qualités (ICI)
 
VAUBAN
 
 
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mercredi

La STRATÉGIE ÉNERGÉTIQUE DE DÉFENSE (RAPPORT DU MINISTÈRE DES ARMÉES)



Cette stratégie a pour objectif de faire de la transition énergétique un atout opérationnel pour les armées. Le ministère s’engage ainsi à consommer sûr, mieux et moins pour conserver l’autonomie dont il a besoin et accroître son efficience et ses capacités de résilience.

Son ambition est de réduire la dépendance aux produits pétroliers et de s’adapter à la transition énergétique en intégrant les nouvelles technologies de l’énergie et les carburants de rupture. La maîtrise et l’optimisation des consommations permettra au ministère de réduire son empreinte environnementale.

La maîtrise de la consommation se fera notamment en développant une culture de la sobriété énergétique et en intégrant des exigences d’écoconception et d’efficacité énergétique aux programmes d’armement.

Pour symboliser cette stratégie, le Service des essences des armées (SEA) devient le Service de l’énergie opérationnelle (SEO). Il œuvrera aux côtés de la nouvelle division dédiée à l’énergie au sein de l’État-major des armées (EMA). Une gouvernance robuste et spécifique sera mise en œuvre pour accroître la coordination et répondre de manière transverse aux nombreux enjeux du domaine énergétique. Le Service d’infrastructure de la défense (SID) est également pleinement mobilisé dans cette nouvelle dynamique.

A lire sur THEATRUM BELLI.

dimanche

 

Ouverture du 70e cycle "intelligence économique et stratégique"

Vendredi 2 octobre 2020

Ce vendredi 2 octobre 2020 a débuté le 70e cycle intelligence économique et stratégique (IES). Le cycle a été ouvert par monsieur le Préfet Denis Conus, directeur adjoint de l'IHEDN.

IHEDN | Intervention de monsieur le Préfet Denis Conus, directeur adjoint de l'IHEDN
IHEDN | Intervention de monsieur le Préfet Denis Conus, directeur adjoint de l'IHEDN
 

L'intervention d'ouverture sur l'intelligence économique et stratégique a été donnée par Monsieur Bernard Besson. La politique publique de sécurité nationale et territoriale a été présentée à la fois par le service de l'information stratégique et de la sécurité économique (SISSE) du Ministère de l'économie et des finances, ainsi que par le Ministère de l'Intérieur. Les participants du cycle IES vont pendant 7 jours, soit 49 heures de cours, suivre des enseignements sur la veille, la valorisation de l'information stratégique, la cybersécurité, les enjeux de la transformation numérique des organisations, la sécurité économique, les stratégies d'influence mais aussi le dispositif de contrôle des investissements étrangers en France. Ils travailleront également sur la lutte contre la corruption, la compliance et sur la sécurité et sureté globale des entreprises.

jeudi

Un faux rapport d'un "groupe d'officiers de réserve" sur le Covid-19 contient des fausses informations...

La chasse aux fausses rumeurs ne prend jamais de vacances :

(source : AFP Factuel)

Des sites en plusieurs langues diffusent depuis le début du mois d'août un "rapport d'enquête d'un groupe d'officiers de réserve" français sur le Covid-19 affirmant, entre autres, que la 5G et le nouveau coronavirus sont liés. Ce rapport est un faux, a affirmé à l'AFP le président de la fédération nationale des réservistes. Il contient également de nombreuses informations erronées.

"Des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la 'pandémie' de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant", affirme le site profession-gendarme, qui relaye ce fameux rapport dans un article du 7 août 2020.
En guise de preuve qu'il s'agit d'un document véridique, l'article en question est accompagné du logo bleu de l'Anorgend, principale association de réservistes de la gendarmerie en France :

(Capture d'écran du site profession-gendarme, réalisé le 4 septembre 2020)
Depuis l'article, on peut effectivement cliquer sur un lien qui redirige vers le rapport, un document PDF de 156 pages, prétendant "proposer un protocole de prévention et informer sur les pistes thérapeutiques a imposé" face au Covid-19 tout en "révélant de graves incohérences dans la version officielle" des autorités françaises.
Le document en question a été peu relayé en France. Le compteur de vues de l'article affiche un peu plus de 3.000 vues et, selon l'outil d'analyse CrowdTangle, il a été relayé seulement 47 fois sur Facebook.
Un autre site diffusant le même rapport compte 435 partages sur Facebook, toujours selon CrowdTangle. L'article de profession-gendarme semble être un copier-coller de ce billet. 
Mais cela n'a pas empêché le rapport de traverser les frontières. On le retrouve traduit le 31 août sur ce blog anglophone.
On le retrouve également sur ce blog espagnol où il est présenté le 2 septembre comme un "rapport militaire français" prouvant que le Covid-19 est directement lié à la technologie 5G.

Exportations d’armement de la France : le rapport parlementaire





COMMUNIQUÉ DE PRESSE
DU MINISTÈRE DES ARMÉES






                                                   Paris, le 2 juin 2020

Publication du rapport au parlement sur les exportations d’armement de la France




  • Le ministère des Armées a remis au Parlement, le 1er juin, le rapport annuel sur les exportations d’armement de la France.
  • Répondant à l’impératif de transparence vis-à-vis de la représentation nationale, l’édition 2020 s’inscrit dans la continuité du précédent rapport. Plus précise et documentée, cette édition se veut plus accessible. Elle intègre, pour la première fois, le rapport transmis chaque année à l’ONU dans le cadre du Traité sur le commerce des armes (TCA).
  • L’édition 2020 sera présentée par Florence Parly, ministre des Armées, lors d’une audition devant la commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale.
  • L’édition 2020 du rapport au parlement sur les exportations d’armement de la France est disponible ici.

Retrouvez l’introduction de la ministre des Armées :
 « Depuis 1998, le ministère des Armées remet chaque année à la représentation nationale un rapport détaillant les exportations d’armement de la France. Jamais la remise de ce rapport n’est intervenue dans un contexte aussi bouleversé : au cœur dune crise sanitaire mondiale, après une année 2019 particulièrement tumultueuse qui a vu la montée du protectionnisme, l’accroissement des tensions entre grandes puissances et l’érosion des mécanismes internationaux destinés à contenir les tensions et apaiser les rivalités. 

La pandémie que nous traversons exacerbe les défis existants et il nous faut éviter que le choc économique que le monde traverse n’affecte trop durement notre base industrielle et technologique de défense. Il en va de notre souveraineté. Mais il faut être lucide : cette crise affectera nos industries, et elle éprouvera les budgets publics. Nos partenaires étrangers seront encore plus exigeants, encore plus attentifs aux retours industriels de leurs investissements de défense : la concurrence sera féroce. Nous en avons conscience et nous agissons pour nous mettre en ordre de bataille.

Au cœur de la politique d’exportation que je mène depuis 3 ans, il y a un choix résolu et engagé : celui de renforcer nos partenariats européens. Je suis donc fière d’annoncer qu’en 2019, les clients de l’Union européenne ont représenté 42% des prises de commandes auprès de nos industriels (et près de 45% en comptant les autres pays européens, hors UE). Trois pays européens – la Belgique, la Hongrie et l’Espagne – figurent parmi nos cinq principaux clients. Ces résultats sont inédits, et ils ne sont pas le fruit du hasard. L’accord que nous avons conclu en octobre 2019 avec l’Allemagne sur les exportations de matériels de défense constitue également une avancée majeure pour accompagner les programmes en coopération et les échanges de composants entre nos industriels.

Nous avons fait le choix de l’Europe, nous en mesurons aujourd’hui toute la pertinence : il sagit de créer des partenariats, de favoriser les coopérations et l’interopérabilité de nos armées avec en ligne de mire, la volonté d’agir ensemble. C’est cela, l’Europe de la défense. 

En 2020, nous poursuivons cette politique d’exportation européenne. Nous œuvrons au quotidien pour créer de nouveaux partenariats mais aussi pour faire émerger de nouveaux instruments qui favoriseront la création d’un véritable marché européen des équipements de défense. La crise à laquelle nous faisons face renforce cette volonté de développer la base industrielle et technologique de défense européenne. Nous avons du travail sur ce front, mais nous avons aussi des idées et des ambitions : doter le fonds européen de défense dun budget conséquent, développer les financements européens pour les acquisitions d’équipements de défense, prôner une plus grande régulation du marché intérieur pour favoriser les projets européens sans dépendances extérieures ou encore lever les freins à l’exportation pour les capacités développées entre pays européens.

2019 confirme une fois de plus que l’offre française en matière d’équipements militaires est une référence mondiale, connue et reconnue le montant des exportations s’élève cette année à 8,33 milliards d’euros. Une offre appréciée, car elle sait s’adapter aux besoins des armées des pays clients et elle sait interagir avec les industries de défense étrangères. Une offre également variée, des grands programmes d’armement aux petits équipements et innovations de nos PME françaises qui sont partie prenante de la vitrine du savoir-faire et de lexcellence française.

Cette vitrine, c’est une richesse que nous devons préserver et que nous devrons faire fructifier. Des PME aux grands groupes, l’industrie de défense mobilise des investissements qui font la vitalité de notre économie et créent des emplois non-délocalisables partout en France : soutenir lindustrie de défense, cest protéger les emplois des Français, cest développer la vitalité de nos territoires. Pour cela, il sera donc essentiel que nous maintenions une politique dexportation volontaire et engagée.


Nous continuerons de mener cette politique dans le respect le plus strict des exigences qui s’appliquent aux exportations d’armement, en pleine conformité avec nos valeurs et nos engagements internationaux. Nous ne ferons aucune concession sur ce cadre rigoureux, pas plus que sur l’exigence de transparence vis-à-vis des Français. C’est la raison d’être de ce rapport, édité pour la deuxième édition consécutive dans un format que nous avions repensé pour apporter plus de clarté et de lisibilité au contrôle des exportations d’armement, et qui intègre pour la première fois le rapport annuel établi au titre du Traité sur le Commerce des Armes (TCA). »

Florence Parly

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Contact media :

Centre media du ministère des Armées
09 88 67 33 33