Les hommes qui font l'innovation : Laurent GROSSE-KOZŁOVSKI La géopolitique pratique est un art complexe et délicat. L’État et nos entreprises exportatrices en savent quelque chose, tant il s'avère risqué et coûteux de proposer à d'autres pays nos meilleures idées et nos réalisations les plus marquantes. Pas d'annuaire public des personnes à contacter et à convaincre, à l'étranger : c’est pourquoi la maîtrise des réseaux officiels est un atout précieux pour gagner du temps, pour gagner tout simplement.
Dans
l'univers de l'ordre public et de la sécurité, prérogative
régalienne s'il en est, solidement tenue par les gouvernements,
connaître les bons interlocuteurs et savoir comment les aborder
constitue le facteur-clef de succès d'uns stratégie. C'est la
raison pour laquelle Laurent GROSSE-KOZŁOVSKI a décidé tout
récemment de mettre ses compétences et ses carnets d'adresses à la
disposition des grands opérateurs français – voire étrangers –
pour accompagner leurs démarches.
Laurent
GROSSE-KOZŁOVSKI a dirigé les ressources d'INTERPOL au niveau
mondial, depuis le siège de Lyon. En fait, il a vécu de l'intérieur
et grandi avec INTERPOL pendant 27 ans : entré dans
l'institution en 1991 comme simple documentaliste, à 22 ans, tout
jeune diplômé de Sciences-po, il a pris les responsabilités de la
Direction des services juridiques puis la Direction de
l’administration et des finances (avec au passage un DESS en
administration des entreprises glané en parallèle) puis enfin, dès
2012, la Direction de la gestion des ressources qu'il a érigée en
Direction à part entière.
Auparavant,
il avait créé et rédigé le premier Règlement du traitement de
l'information, interne à INTERPOL.
Autant
dire qu'il a côtoyé de près les responsables (politiques, pas
forcément permanents mais aussi fonctionnaires, eux restant plus
longtemps en poste) de quelque 194 gouvernements dans autant de pays
– pour tout ce qui touche à la police et à la sécurité.
Le
constat lui paraît clair, et double :
-
d'une part il n'y a pas de réflexion stratégique internationale au
niveau des chefs de la Police ou des ministres concernés ;
-
d'autre part, on constate partout un défaut d'intégration des
technologies modernes.
Il y
a donc une place évidente pour proposer une prestation de conseil à
l’internationalisation des fonctions de police, au plus haut niveau
mais toujours en gardant un aspect concret, « sur le terrain ».
Cela
se traduit par une réponse théorique et pragmatique, proposant des
outils opérationnels et un accompagnement des projets comprenant le
suivi jusqu'à leur aboutissement.
La
formule a du succès : après un premier contrat très apprécié
de son donneur d'ordre, Laurent GROSSE-KOZŁOVSKI escompte un fort
développement de son activité – limité seulement par son emploi
du temps : son réseau très développé et son expérience ne
se sous-traitent pas.
Son
cœur de métier est la stratégie et la politique de police et de
sécurité, il commence par la mise en relation avec les décideurs,
sur une base élargie au-delà des relations issues d'INTERPOL. Il
s'appuie pour cela sur son réseau personnel, unique, et sur sa
maîtrise de la coopération internationale. Il accompagne ensuite la mission jusqu'à son terme.
Faire
travailler ensemble des personnes de cultures parfois très
différentes nécessite un tant soit peu de culture internationale, à
la frange de la diplomatie... De nos jours, le politique tend à
prendre le pas sur l'opérationnel – comme exemple l'élection à
la présidence d'INTERPOL qui a été longuement débattue entre un
russe, un coréen, un sud-africain et finalement un dirigeant chinois
maintenant empêché par son propre pays et remplacé aujourd'hui par
un coréen, Monsieur Kim Jong Yang élu en novembre dernier.
La
coopération internationale en matière de police et de sécurité
n'est pas un long fleuve tranquille... Il faut savoir nager. Laurent
GROSSE-KOZŁOVSKI est maître en la matière.
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©
Christophe Réville 2019
crédit
photo LGK consultancy