95% des entreprises déclarent que leurs employés pourraient être vulnérables face à des tentatives de chantage de cybercriminels
avril 2017 par BT et KPMG
Dans un monde où la technologie fait partie du quotidien de chacun, les entreprises déploient des stratégies numériques de plus en plus sophistiquées et ambitieuses. Les cybercriminels n’ont jamais été aussi dangereux, et ils représentent aujourd’hui une réelle menace. En effet, leurs attaques ont pour but d’exploiter chaque faille des systèmes informatiques pour ensuite les monétiser : la criminalité numérique a désormais un aspect économique et les employés sont parmi les premiers visés. Lire la suite ici sur Global Security Mag
Cyberattaques : comment la Corée du nord pille les banques dans le monde entier :
A lire ici sur 01net- Cyberguerre : une course à l'armement préoccupante : Le cyberespace, globalisé et dépourvu de frontières, se prête encore peu à l'application du droit international. De nouvelles règles sont en cours de négociation à l'ONU pour éviter une escalade de cyberattaques.
Faut-il se préparer à voir débarquer dans un avenir proche des inspecteurs de l'ONU dans des data centers? Dans la communauté internationale, la question de la prolifération des armes numériques, et de leur neutralisation, est au cœur des débats. Les Nations nies réfléchissent aux moyens de limiter leur prolifération, comme ils le faisaient pour des armes conventionnelles (...) Article complet sur le Figaro Tech&Web
- Tsahal s'arme pour affronter les défis de la cyberguerre : lire cet article de Slate
- L’Allemagne met sur pied une cyberarmée pour contrer la Russie :
Le nouveau commando de lutte contre les cyberattaques comptera 13.500 hommes d'ici juillet. À titre de comparaison, la marine allemande emploie 16.000 soldats et l'armée de l'air 28.000. L'Allemagne espère inspirer d'autres forces armées européennes pour que celles-ci s'attaquent également aux cyberattaques.
- Et en France ?
La France a officiellement admis qu’elle aura une capacité offensive dans le domaine très nouveau de la guerre électronique. Elle va se doter d’une force de 3 200 personnes, dont 2 600 cyber-soldats, d’ici à 2019. Ils seront sous les ordres d’un commandement distinct.
Et l’État va consacrer un milliard d’euros à la cyber-défense sur l’ensemble de la durée de la loi de programmation militaire, soit de 2014 à 2019. La moitié devra financer des activités de recherche et d’équipement (...) (La Croix)
Lire aussi le dossier du dernier numéro d'Armées d'aujourd'hui, ici.