
A Gao (Mali), le 13 novembre 2018, après un attentat suicide qui a fait trois morts. AFP
Ceux qui s’intéressent à la guerre qui sévit au Mali depuis 2012 ont entendu plusieurs fois le même récit : lorsque les djihadistes sont venus d’Algérie au Mali, au début des années 2000, ils n’étaient qu’une poignée et étaient hautement vulnérables. (Lire la suite sur The Conversation)